Présentation du projet
Depuis les premières heures de ce que l’on peut identifier comme civilisation, l’être humain s’est toujours évertué, et encore aujourd’hui, à gérer du mieux qu’il peut, sans jamais avoir trouvé de « bonne solution », ceux qui ne respectent pas les règles de ses sociétés.
Enfermer, châtier, punir, torturer, exécuter ou encore établir une échelle de sanctions en fonction des maux faits à la société ou à l’un de ses membres, montrer publiquement les jugements et châtiments ainsi mis en place pour prévenir, dissuader ou sanctionner… voilà le grand problème de l’espèce humaine refusant ainsi ce comportement animal qui voit ses hiérarchies se mettre en place de façon naturelle et sans jugement.
Voulant revisiter ce mythe du châtiment avec pertinence et humour, je me suis autorisé un « patchwork anecdotique » sur les tentatives heureuses ou malvenues de l’humanité à gérer au mieux les « brebis galeuses » de nos sociétés occidentales.
Avertissement
Ce spectacle de comédie se veut divertissant et pertinent.
Le ton de cette histoire originale est plutôt surprenant : le poétique, l’historique, l’humour parfois sombre et corrosif, soulignent le caractère et la condition si particuliers de notre héros.
Premier témoin et figure hors norme de la société, c’est un exécuteur publique qui nous raconte et nous fait vivre quelques moments de l’histoire des hommes et des châtiments : voici l’histoire de Simon.
Accessible à tous mais déconseillé au moins de 15 ans, cette pièce de théâtre propose, en plus de divertir, une réflexion sur la condition animale de l’homme.
« Je hais l’humanité, j’aime l’être humain » L. BUNUEL
L’histoire
Marginal, éloigné de tout, Simon, descendant d’une lignée d’exécuteur public nous fait revivre les épisodes marquants de l’histoire de sa généalogie.
Sur fond de véracité historique, une dizaine de tableaux sensibles et cruels, drôles et surprenants, sur le quotidien des bourreaux, devenus de nos jours… (chut faut le dire à voix basse)
Jules JORDA
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